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La générosité a toujours été et restera une valeur essentielle à mes yeux.

Nul besoin d’argent pour la pratiquer à foison, et ce, chaque jour.

Simplement…

Une main tendue à la personne qui en a besoin,

Un sourire pour illuminer sa journée,

Un regard,

Des paroles simples « Bonjour », «  Comment allez-vous ? »

Beaucoup de petites gestes, mais de très grandes attentions si elles viennent du cœur,

Et tant de chaleur pour qui les reçoit.

Bellara – Novembre 2016

Un texte que vous connaissez sans doute, mais que je souhaitais avoir ici sur mon blog.

Je remercie son auteur pour ce beau jeu de mots !

Qui n'a pas une fois ainsi agi ?

Personne ! Je pense.

Et moi la première...

Il m'est sans aucun doute arrivé de ne pas faire certaines choses en espérant que quelqu'un

les ferait à ma place... Mais voilà... Personne ne les a faites pour moi...

Et je l'ai sans aucun doute encore reproché à tout le monde.

Je souris...

Je me revois...

Et finalement, ces mots, oui, j'aurais pu les écrire.

Heureusement, il y a longtemps que...

J'ai compris que je devais faire certaines choses moi-même et par moi-même,

J'ai compris également que si je ne les faisais pas, je ne devais m'en prendre

qu'à moi-même et que je n'avais aucun droit d'en faire les reproches à quelqu'un.

En fait, je le savais... mais ne le mettais pas forcément en application.

Bellara - Octobre 2017

Cette histoire fait référence à des situations que nous pouvons rencontrer et vivre nous-mêmes.

Même si nous faisons tout pour apporter de l'aide, certains la refuseront.

Il existe mille et une manière de refuser l'aide d'autrui...et l'histoire du scorpion

en est une illustration parmi d'autres.

L'important est d'avoir essayé de toutes ses forces, de tout son cœur et d'avoir fait de son mieux.

Il ne faut jamais rester sur un refus... comme le démontre cette histoire.

Il ne faut jamais regretter ce que l'on a pu faire, puisque l'on a agi avec le cœur.

Il faut reprendre la route et continuer, je pense, d'agir avec sa conscience, son âme, son cœur.

Parce qu'il y a peut-être encore des centaines, des milliers d'autres personnes que nous pouvons aider,

à qui nous pouvons apporter du réconfort et sans doute un peu de bonheur.

Il faut continuer d'agir selon ses convictions, sa nature, même s'il faut pour cela, se protéger parfois.

Le cœur et la conscience ont leurs raisons.

Bellara - Octobre 2017